Quand Tokyoflash allie l'acétate à sa montreKisai On Air, on a droit à une nouvelle montre élégante et unique.
La Kisai On Air est avant tout une montre tactile à l'affichage minimaliste. La version en Acétate correspond peut-être à l'une des plus belles montres de la société japonaise.
Tokyoflash refaçonne l'affichage de l'heure.
Il s'agit d'une montre bracelet qui dispose d'un écran LCD tactile. Ce dernier se subdivise en quatre zones qui jouent le rôle de boutons physiques. En glissant son doigt de la zone gauche vers la droit et le tactile est déverrouillé, évitant ainsi les appuis intempestifs. La date s'affiche alors en appuyant sur le quart supérieur de l'écran. Une alarme peut aussi être réglée.
Grâce à son rétro-éclairage par LEDs (avec au choix 4 couleurs), la Kisai On Air vous offre un véritable spectacle durant la nuit.
Pratiquement, il s'agit d'une montre à affichage continue de l'heure. Elle fonctionne grâce à une simple pile bouton de type CR2025.
L'acétate :
Tokyoflash innove avec l'acétate, un matériau notamment utilisé dans la joaillerie fine. Difficile de le comparer à un autre matériau tant ses caractéristiques sont particulières. Il fait toutefois quelque peu penser à de l'émail ou de la céramique mais n'est pas cassant et il se révèle très léger ; on pense aussi à l’ivoire. C'est également l'autre caractéristique de la Kisai On Air Acétate : un poids plume (60g) qui paradoxalement ne donne aucunement l'impression d'une montre en toc. Bien au contraire, la finition étant pile au rendez-vous (à l'heure oserait-on dire), et Tokyoflash ajoute encore des lettres de noblesse à la Kisai On Air avec l'utilisation de l'acétate.
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le rétro-futurisme sans jamais oser le demander. Telle est la promesse du livre Rétro-Futur, Demain s'est déjà produit. Tout est passé à la moulinette dans cette référence en la matière.
Rétro-Futur, Demain s'est déjà produit se présente comme un beau livre avec une couverture semi-rigide et un contenu étoffé au fil de ses 415 pages. Beau mais pas seulement puisque les éditions Les moutons électriques ont su mettre les petits plats dans les grands. Savamment orchestré grâce à une construction claire et parfaitement organisée, Rétro-Futur vous guide à travers les arcanes des différents mouvements qui relatent le futur anticipé dans une période passée. Ces mouvements sont le dieselpunk, le steampunk, l'atompunk et le cyberpunk. Le livre se déguste comme un met savoureux et vous donne ce brin de nostalgie propre à ses mouvements : ce futur vu du passé n'a pas eu lieu.
Les origines de ces mouvements sont également au programme et cette bible est agrémentée d'une multitude d'illustrations. Fascinant est le maître-mot pour ces futurs que le passé aurait pu façonner. Du tout bon donc auquel Les moutons électriques nous avaient déjà habitué avec d'autres opus du même acabit dans La bibliothèque des miroirs. Rétro-Futur est un ouvrage collectif aux manettes duquel on trouve Raphaël Colson. Il est proposé au prix de 25€ dans la collection La bibliothèque des miroirs (13ème volume d'une collection qui en compte 22) aux éditions Les moutons électriques.
Classe est le premier mot qui vient à l'esprit lorsqu'on découvre la Kisai Kaidoku. Et rapidement, on se retrouve face une montre à l'affiche unique.
L'élégance caractérise la Kisai Kaidoku. Une montre large avec un bracelet en cuir et des coutures visibles lui donnent un cachet très chic. A l'examen de ce bracelet, on s'attend à voir une montre classique à aiguilles. Et on découvre la Kaidoku qui semble taillée dans le métal d'une météorite.
C'est ce mélange du classique avec le bracelet en cuir et la montre à large écran et faite de métal brossé sombre qui rend réellement cette montre singulière. On notera la gravure du mot KISAI du plus bel effet en bas à gauche de l'écran.
En fait, les proportions de la montre donnent l'impression d'une montre extra large. Mais si on la compare à une Suunto T6 par exemple, on se rend compte qu'elle fait la même largeur (4.7cm). Des proportions qui nous conduisent tout droit à l'affichage de la Kaidoku.
Ce sont les mots qui parlent ou plutôt qu'il faut lire. Les quatre premières lire affichent des numéros s'échelonnant de un à douze. Et celui qui flashe indique l'heure. Les deux lignes suivantes donnent les dizaines de minutes (elles vont de zéro à cinq). Puis les trois dernières lignes indiquent les minutes au delà des dizaines : de 0 à 9. Simple comme bonjour : la lecture est bien entendu immédiate. Et on se prend à regarder l'heure comme par jeu. Mais c'est aussi la montre qu'on regarde car l'objet est aussi (voire plus) important que la fonction, Tokyoflash oblige.
Mais passée cette digression philosophique, il est temps de revenir à la Kaidoku. La motre (mélange de montre et de mot) nous parle d'un temps que les moins de vingt ans connaissent très bien. C'est un canadien âgé de 15 ans qui a eu l'idée de concept qui a flashé dans la tête des décideurs de Tokyoflash. La Kaidoku était née.
Philosophie de l'heure ou plutôt à l'heure de la philosophie, les montres Tokyoflash ne cessent de tourner autour de l'heure, du temps… A tel point qu'on finit par s'interroger sur ce concept si commun et pourtant si incompréhensible.
Le rétro-éclairage n'est pas des plus puissants et aurait gagné à l'être. Cet inconvénient se transforme en avantage lorsqu'on évoque l'autonomie de la Kaidoku. Pas de recharge par USB de la batterie, ici on est en présence d'une pile bouton classique (une CR2016) et l'heure est affichée continuellement. La montre est étanche et supporte une pression de 3 ATM. Elle est bien entendu en acier inoxydable. Ces deux boutons permettent de régler l'heure, la date et l'alarme, et le bouton supérieur permet également de voir l'heure dans l'obscurité. La batterie sera changé au maximum une fois par an, ce qui est plus que raisonnable.
Montre moi ta montre et je te dirai qui tu es : littéraire ou geek ou bien les deux ?
Tokyoflashest toujours à l'heure pile pour nous faire écarquiller les yeux. Cette fois-ci la marque japonaise nous présente la Kisai Rogue SR2. Un nom qui sonne comme venant du futur ou d'un film de science-fiction. Marty MC Fly l'aurait ramenée d'un de ses voyages temporels qu'on n'en serait pas étonné.
Aussi mutante que le personnage de Rogue dans X-Men, la Rogue SR2 revisite une nouvelle fois le temps et nous surprend avec la façon singulière qu'elle a d'afficher l'heure.
On pourrait presque y voir une analogie avec le temps qui file puisqu'ici le temps a réellement filé et c'est son absence qui vous indique l'heure. Vous suivez toujours. Vous allez mieux comprendre le concept en regardant les photos.
Ce sont des cercles concentriques qui indiquent les minutes et les heures. Ainsi le cercle intérieur est fait d'arcs qui représentent les heures. L'heure est indiquée à l'endroit où l'arc de cercle a disparu. Quant au disque constitué de larges blocs, il s'agit des minutes indiquées grossièrement (des chiffres allant de '00' à '55' sont écrits sur tout le pourtour de l'écran pour vous aider) par l'absence de l'un d'entre eux tandis que le cercle fin situé à l'extérieur indique précisément les minutes.
On s'habitue presque instantanément à cet affichage tant il est intuitif.
Mais ce qui caractérise peut-être le mieux la Rogue SR2, c'est son affichage hybride. L'heure est affichée perpétuellement sur écran LCD coloré mais il se double d'un rétro-éclairage à LED (de couleur soit vert, rouge, orange ou bleue de la même couleur que l'écran LCD) sitôt le bouton A (bouton du haut) appuyé (un vrai spectacle durant la nuit).
Deux boutons sont présents sur le flanc droit de la Rogue SR2. Le bouton A enfoncé plus de trois secondes permet d'entrer dans le mode réglage qui s'effectuera aisément à l'aide de ces deux boutons.
Si vous appuyez sur le bouton B (celui du bas), l'e rétro-éclairage LED se met en branle et vous indique l'heure de l'alarme par un petit rond situé entre les deux cercles intérieurs. Un petit symbole 'alarme' indique que la montre sonnera à l'heure réglée.
Il s'agit d'une montre bracelet dont vous ferez sauter les maillons nécessaires pour l'ajuster à votre poignet.
Le matériau utilisé est le métal ce qui lui confère un certain poids (120g) que les collectionneurs de montres bracelets apprécieront particulièrement.
Le noir brillant, laqué pourrait-on même dire, lui donne un aspect classe souligné par le KISAI gravé sur la tranche de la montre.
Comme à son accoutumée, Tokyoflash propose une montre à la finition irréprochable étanche à 3ATM et faite de métal inoxydable. Difficile de lui trouver un défaut.
La Kisai Rogue SR2 fonctionne avec une pile bouton classique CR2025 et est vendue 125euros sur le site de Tokyoflash.
Tokyoflash est synonyme de montres au design toujours singulier. La marque se réapproprie le temps avec chacun de ses modèles. Mais pour l'heure, parlons de la Kisai RPM Acetate blanche.
La sensation d'une montre différente est belle et bien là et aucune photo ne peut restituer les spécificités esthétiques de cette montre et plus particulièrement de l'Acétate. La RPM en acétate a ainsi été déclinée dans de nombreuses versions toutes plus belles les unes que les autres. Mais ici, c'est la version immaculée que 4ugeek a pu avoir entre les mains ou plus exactement autour du poignet.
La Kisai RPM :
C'est le même modèle que celui que nous avions testé dans nos colonnes. Le concept est simple : revisiter la montre à aiguilles et pour cela, Tokyoflash a eu l'idée conceptuelle géniale… d'enlever les aiguilles tout simplement. Il s'en suit un disque au centre de la montre dans son plus simple appareil.
Plus d'aiguilles, car ce sont les chiffres qui clignotent. Ou plus exactement des arcs de cercles puisqu'il n'y a plus de chiffres. Vous aurez compris, il y en a 12 ou plus exactement deux fois 12 qui constituent deux cercles concentriques. Le cercle extérieur indique les minutes par tranche de 5 minutes et au sommet le segment est divisé en 5 petits traits qui indiquent les minutes (1, 2, 3, 4 ou 5). Quant au cercle intérieur, il indique les heures.
La montre est "muette" tant que vous n'appuyez pas sur le bouton A. Sitôt appuyé, c'est un affichage majestueux de LED bleues sur fond noir entouré de l'acétate blanc qui s'offre à votre regard complice.
Le bouton B, de concert avec le bouton A, permet de régler la montre (sur la RPM en métal, il n'y avait qu'un seul bouton qui permettait de tout faire).
Il est également possible d'avoir une "animation" qui se déclenchera toutes les 15 minutes entre 18h et minuit.
Il s'agit ici d'un bracelet montre avec un fermoir différent de celui de la RPM "classique". Pour le régler à son poignet, il suffit de se rendre dans une bijouterie et pour quelques euros, le bijoutier fera sauter le nombre de maillons nécessaires pour que le bracelet s'adapte parfaitement à votre morphologie.
L'acétate :
Tokyoflash innove avec l'acétate, un matériau notamment utilisé dans la joaillerie fine. Difficile de le comparer à un autre matériau tant ses caractéristiques sont particulières. Il fait toutefois quelque peu penser à de l'émail ou de la céramique mais n'est pas cassant et il se révèle très léger ; on pense aussi à l’ivoire. C'est également l'autre caractéristique de la RPM Acétate : un poids plume (60g) qui paradoxalement ne donne aucunement l'impression d'une montre en toc. Bien au contraire, la finition étant pile au rendez-vous (à l'heure oserait-on dire), et Tokyoflash ajoute encore des lettres de noblesse à la Kisai RPM avec l'utilisation de l'acétate.
La société basée au Japon fournit un petit tournevis qui permet d'accéder à la batterie (de type LIR 2032 sous 3.7v) et de recharger celle-ci via l'USB avec le bon embout côté montre. Mais elle est très peu gourmande en énergie par définition puisque vous n'affichez que lorsque vous désirez connaître l'heure. 300 cycles de recharge sont possibles avec la batterie d'origine.
L’acier utilisé est inoxydable (stainless steel) et elle est étanche jusqu'à une pression de 3 ATM.
Montrez-moi votre poignet, et je dirais qui vous êtes, surtout si vous portez la Kisai RPM Acetate.
La Kisai RPM Acetate est vendue 111 euros (existe en version blanche, bleue et édition limitée).
Ecouter de la musique sur un appareil nomade (appareils iOS, android, netbooks...) est quelque chose de très répandu étant donné la multiplication de ce genre d'appareils. Mais leur taille ne permet pas l'intégration de hauts parleurs de qualité lorsque ces derniers existent d'ailleurs. Vous écoutez vos podcasts ou de la musique au casque, mais lorsque vous êtes chez vous, une écoute de meilleure qualité et partagée devient évidente. Vous pouvez bien relier votre smartphone à votre chaîne via un câble jack vers RCA, mais le Bluetooth permet tout autre chose.
La norme Bluetooth 2.1 A2DP (pour Advance Audio Distribution Profile) a été créée spécifiquement pour véhiculer de la musique sans perte de qualité. Initialement créée pour l'usage de casques audio sans fil, elle est également parfaitement adaptée à d'autres usages s'agissant notamment de streaming audio.
Le récepteur audio stéréo Bluetooth Novodio BlueFreeSound utilise cette technologie et vous permet via votre iPhone, Androphone ou netbook d'émettre un contenu musical vers ce récepteur que vous aurez pris soin de relier à votre chaîne Hifi grâce au câble (fourni) jack 3.5mm vers RCA. Se présentant sous la forme d'un petit boîtier à l'aspect d'une simple alimentation dc, ce récepteur peut être mis en œuvre en moins d'une minute (phase de synchronisation comprise). Une fois branché à votre chaîne, il vous suffit de scanner les appareils Bluetooth avec votre smartphone par exemple, de sélectionner "bluefreesound" et de valider. Vous êtes alors invité à spécifier un code permettant la reconnaissance mutuelle des deux appareils: "0000". Le tour est alors joué puisque vous n'avez plus qu'à lancer la lecture d'un morceau pour qu'il soit transmis à la chaîne via le récepteur Bluetooth. La qualité d'écoute est bluffante puisque la norme AD2P utilise une bande plus large que le Bluetooth classique permettant une restitution fidèle et sans distorsion. Côté consommation, cela reste tout-à-fait raisonnable mais elle grimpera bien entendu avec la distance et avec la puissance (volume sonore) qui sera transmise. On peut s'éloigner jusqu'à 10 mètres aisément sans que le flux ne décroche et même changer de pièce smartphone en poche.
Il nécessite que votre appareil supporte la norme Bluetooth AD2P qu'il ne faut pas confondre avec le "Bluetooth audio" qui présente une bande bien plus faible ne permettant que la transmission de la voix. Rassurez-vous, c'est le cas de la grande majorité des smartphones par exemple et de beaucoup d'appareils en général (iPad, iPod Touch, iPhone depuis la MàJ 3.0, Samsung Galaxy Spica...).
Il n'y a pas d'interférences avec le Wifi (ni avec d'autres sources Bluetooth) dans la mesure où le Bluetooth fait appel au FHSS (Frequency Hopping Spread Spectrum) qui répartit le signal modulé sur toute la bande par canaux de 1MHz (79 canaux en tout). Et le multiplexage des canaux évite statistiquement qu'au même moment le même canal ne soit utilisé.
On notera également la présence d'un port usb sur le Novodio BlueFreeSound permettant de recharger n'importe quel appareil (iPad, smartphone...)
D'autres produits similaires existent mais pourquoi dépenser plus pour obtenir un produit de qualité moindre. Il s'agit donc d'un produit à acheter les yeux fermés d'autant plus qu'il ne coûte que 29€. Vous le trouverez sur le site www.macway.com .
Conditions du test: Utilisés tour à tour: un iPhone 3GS, un iPad et un Samsung Spica (android). Chaîne Hifi de qualité intégrant des transistors JFET pour trahir une éventuelle distorsion à l'écoute
Merci à www.macway.com qui a permis de rendre ce test possible.