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24 mai 2012 4 24 /05 /mai /2012 22:46

Samsung-Galaxy-S-III-_-b-copie-1.jpg


Si vous êtes un aficionado de l'OS mobile Android, le nouveau fer de lance des smartphones Android est bien le Galaxy S III. Mais faut-il vraiment craquer pour ce joujou à 649€.? Si l'envie vous en prend, ne jouez pas votre décision sur un coup de dé.


Le Galaxy S III est le second terminal à intégrer un processeur quadruple coeur après le HTC One X ; un Tegra 3 de Nvidia pour ce dernier. Celui-ci a toutefois rencontré des problèmes d'autonomie imputables à cette surenchère de puissance mais une mise à jour de l'OS salvatrice remet les choses en ordre.

 

Un hardware éloquent

 

Mais revenons au S III. Il s'inscrit dans la tendance des smartphones à grand écran. Il ne s'agit pas d'un 5.3 pouces comme celui du Galaxy Note mais d'un 4.8" (le Galaxy Nexus est un 4.7" tout comme le HTC One X). Côté qualité d’affichage, il s'agit d'un écran de type super AMOLED recouvert de verre Gorilla Glass 2 (anti-rayures) capable d'afficher des noirs profonds et des couleurs saturées. La résolution est de type HD avec 1280 par 720 pixels, soit une densité de pixels de 306 ppp (pixels par pouce). A titre de comparaison, le nouvel iPad dispose d'une densité de 264ppp et les iPhone 4/4S de 325ppp, le fameux Retina Display.

 

Côté hardware, il embarque le tout dernier SoC (System on a Chip) maison Exynos 4412 à architecture Cortex-A9. Les quatre coeurs de son CPU cadencés à 1.4GHz devraient rendre le multitâche des plus fluides et seront parfaitement adaptés aux jeux 3D qui en tireront profit. L'ensemble est épaulé par un giga-octet de mémoire vive. Et c'est une batterie de 2100mAh qui lui confère une autonomie conséquente.


Une connectivité complète

 

Côté connectivité, on trouve du WiFi 802.11 a/b/g/n, le support du DLNA, du WiFi Direct et la possibilité de partager internet via la création d'un hotspot WiFi. Embarquant la technologie Near Field Communication (NFC), le Galaxy S III supporte de ce fait le paiement mobile et la lecture des tags RFID. On peut en trouver à un euro l'unité et des applis du Google Play vous permettent de les programmer aisément.

 

Son APN autofocus de 8Mpixels au dos de l'appareil s'accompagne d'un flash LED permettant notamment de filmer en 1080p à 30 images par seconde. En façade, on trouve un APN de 1.9Mpixels permettant de filmer en 720p à 30 images par seconde.


Des plus appréciables

 

Les autres plus sont le support combiné du GPS et du système russe GLONASS bien pratique notamment en zone urbaine où il devient parfois difficile de réceptionner les signaux satellites du GPS. Par ailleurs, 50 Go de stockage sur Dropbox sont offerts aux possesseurs du S III.

 

Choisir en connaissance de cause

 

Alors, faut-il craquer pour cette Rolls sous Android ? Si vous ne jurez que par Android, il faudra bien avoir en tête que l'OS Android 4.0.4 est bien enterré sous la toute dernière mouture de la surcouche TouchWiz de Samsung. Elle apporte bien de nombreuses fonctionnalités comme la reconnaissance vocale S-Voice et d'autres encore. Mais pour bénéficier de toutes ces fonctionnalités, pas question de rooter le S III avec une ROM custom de type Cyanogen au risque de perdre certaines d'entre elles. On peut également imaginer que les futures mises à jour d'Android seront assez longues à venir. Il suffit de prendre l'exemple du Galaxy Note qui, parce qu'il dispose d'un S-Pen et de fonctions associées, voit son passage à Ice Cream Sandwich prendre du retard.

A noter aussi pour ceux qui désirent réellement un smartphone avec CPU quad coeur que le HTC One X (qui intègre un Tegra 3) est moins onéreux (on peut le trouver à 540€ sans abonnement). Par ailleurs, Nvidia vient d'annoncer que d'ici la fin de l'année pas moins de 30 smartphones avec Tegra 3 seraient commercialisés. Et parmi ceux-ci, 13 le seront à moins de 300 dollars (i.e. 240€).


Date de sortie et prix

 

Le Galaxy S III est décliné en version avec 16, 32 et 64 Go de mémoire flash interne. Il sera disponible dès le 25 mai auprès de Virgin Mobile et le 29 mais auprès des autres opérateurs. Son prix sera compris dans une fourchette allant de 170€ pour le modèle 16Go à 650€ en version nue (c'est-à-dire sans abonnement).


Samsung-Galaxy-S-III.jpg

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 20:56

Plextor_SSD_M3S.jpg

 


Sur fond d'inondations en Thaïlande, les SSD ont "l'occasion" de s'affirmer et de percer. Pour ce qui est des disques durs, les flux tendus ne devraient toutefois pas s'éterniser. Les choses devraient rentrer dans l'ordre dès le mois de décembre.


Dans ce contexte particulier, Plextor dévoile le M3S, son nouveau SSD. Basé sur un contrôleur Marvell, il s'agit de modèles compatibles avec le SATA III (6Gb/s), promesse d'un débit de 525Mo/s en lecture et de 445Mo/s en écriture. Un bond en avant qui utilise la bande passante des mémoires flash embarquées dans les SSD. Il s'agit probablement de flash basée sur de la NAND MLC (Multi Level Cell).

 

A l'instar de certaines autres marques, le contrôleur Marvell utilise un algorithme de Global Wear Leveling. Il s'agit d'un algorithme qui optimise l'écriture sur le SSD garantissant ainsi une endurance accrue pour la flash, et donc une durée de vie plus importante pour le SSD.

 

Mais l'atout majeur des SSD M3S de Plextor réside dans leur prix. S'ils restent encore plus onéreux que les disques durs, il devient désormais abordable puisqu'on parle de 200$ pour le modèle 128Go et de 349$ pour le modèle 256Go. Ils seront disponibles dès la fin novembre 2011.

 

Un modèle 512Go sera également disponible au premier trimestre 2012.


[engadget]

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8 octobre 2011 6 08 /10 /octobre /2011 12:27

no hopes nos jobs no cash


Il est parfois des maximes ou des phrases qui résument bien ce sentiment suite au décès de Steve Jobs.

Steve Jobs n'est plus et d'aucuns se demandent quelle nouvelle trajectoire la firme de Cupertino va bien pouvoir suivre.

Et en filigrane, on peut essayer de comprendre ce que Jobs à apporté à l'informatique grand public. L'innovation, sans doute, une part de rêve, sans aucun doute mais aussi et surtout l'inaccessible rendu accessible. Mais Apple avec Steve Jobs, c'était aussi une certaine frugalité dans le nombre de produits proposés permettant une lisibilité maximale. Un iPhone par an là où Samsung et HTC, pour ne citer qu'eux, proposent des dizaines de modèles.

Mais ne vaut-il pas mieux voir en son départ un héritage laissé plutôt qu'un vide absolu ?

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8 octobre 2011 6 08 /10 /octobre /2011 11:57

Apple tv

 


L'Apple tv avec sa résolution de 720p est à contre courant dans un marché dominé par la 1080p et où la quad HD commence déjà à se profiler. Mais cela ne l'a pas empêché de connaître un véritable succès. La technologie Airplay y a largement contribué permettant d'associer un appareil iOS à son HDTV.

 

Mais le code d'iOS 5 parle et laisse entrevoir l'indice d'une future mouture de l'Apple tv. Y apparait clairement : "AppleTV3.1". Il s'agirait donc de la troisième génération d'Apple TV.

 

On peut imaginer qu'elle embarquera l'A5 lui permettant de décoder de la full HD (1080p). La mémoire cache actuellement présente dans l'A4 qui équipe l'Apple tv s'accommode mal des grosses vidéos.

 

Rappelons que l'A5 est le SoC (System on a Chip) qui équipe l'iPhone 4S et l'iPad 2 alors que l'A4 correspond à la génération précédente embarquant un CPU simple coeur.

 

Reste à voir s'il s'agit réellement d'un nouveau modèle ou d'un prototype ?


Apple TV31 iOS5


[source : 9to5mac]

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4 septembre 2011 7 04 /09 /septembre /2011 13:36

The-Death-Kiss_affiche_HANTIK.jpg


A ne pas confondre avec le film The Kiss of Death d'Hattaway (1947) dans lequel on retrouve un certain Richard Widmark, The Death Kiss est un film des studios KBS datant de 1932. Bela Lugosi y joue un premier rôle. Le film est sorti en DVD dans la collection "SCARE-IFIC" de l'éditeur Hantik Films : un plaisir à ne pas bouder pour tous les cinéphiles.

 

The Death Kiss, c'est d'abord une période qui fait suite au krach boursier de 1929. Hollywood essaie de concocter une formule qui saura distraire au mieux. Ce film augure effectivement de ce qui fera et fait encore souvent le succès d'Hollywood. Tous les ingrédients sont réunis et c'est une enquête policière qui se prête ici au jeu. Jeu d'acteur de Lugosi notamment qui fait rouler les 'r' comme à son habitude.

 

Les subterfuges sont de mise dans tout le film puisqu'il s'agit de découvrir un assassin. Mais ils sont aussi présents dès l'affiche avec une première impression de film de vampire (avec le titre d'abord : Le baiser de la mort mais aussi avec la présence de Lugosi à l'affiche), mais il n'en est rien.

 

Un acteur du nom de Brent est tué sur scène après un baiser avec Marcia Lane, interprétée par Adrienne Ames. S'en suit une enquête policière menée par deux bras cassés. Car c'est le scénariste du film qui va s'employer à résoudre l'énigme sur laquelle l'ombre de Lugosi plane durant tout le film. Celui-ci interprète Joseph Steiner, le manager du Studio.

 

The Death Kiss, c'est un film dans le film avec en toile de fond le tournage de… The Death Kiss. C'est aussi un studio dans le studio puisqu'il met en scène les studios Tonart (et son plateau 2) alors que le film a été tourné dans les studios Tiffany.

 

Les rôles des projecteurs et de la lumière sont aussi essentiels puisque d'une part ils symbolisent la tête d'affiche Lugosi qui, s'il ne joue pas le rôle principal, nous laisse penser jusqu'au dénouement que son rôle est essentiel (que Steiner est l'assassin ; mais ça vous le découvrirez en regardant le film). L'éclairage (ou plutôt son absence) est aussi ce qui va permettre de faire durer le suspense jusqu'à la dernière minute du film. Il est à tel point essentiel qu'il a fait l'objet d'une coloration à la main sur la pellicule d'origine par l'artiste Gustav Brock. Ce dernier est connu pour son travail de colorisation. Le procédé est en vogue dans les années 30 ; voici la liste des films qui ont été colorisés à cette époque : ici.

 

The Death Kiss est un savant jeu de mises en abyme pour qui saura prendre la peine de les découvrir. On y trouve aussi les prémices des films hollywoodiens : jeune premier, femme fatale, policiers incompétents, happy end...

 

Le film a été réalisé en 1932 par Edwin L. Martin ; il s'agit de son premier film. A l'affiche, on notera la présence d'Edward Van Sloan. L'acteur est connu pour ses compositions  dans Dracula (1931) où il interprétait Van Helsing, le chasseur de vampires (vampire interprété par Bela Lugosi) mais aussi dans Frankenstein (1931)…

 

The Death Kiss est sorti en DVD dans la collection "SCARE-IFIC" de l'éditeur Hantik Films. Il fait suite à Black Dragoons sorti plus tôt dans la même collection. Et il sera suivi dès le 7 septembre du troisième film de cette collection : Tomorrow at Seven dans lequel le personnage "L'As de Pique" a probablement inspiré Bill Finger, le co-créateur de Batman avec Bob Krane, pour le personnage du Joker.

The Death Kiss

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31 juillet 2011 7 31 /07 /juillet /2011 12:28

AR_Drone_Parrot_c.jpg

 


Etre geek n'est désormais plus une tare. Il n'est plus utile de s'assumer geek, de faire son coming out. S'entendre dire: "Mais tu as déjà changé de téléphone il y a 6 mois" n'est plus monnaie courante.

 

AR Drone Parrot bOn pourrait même dire que le geek est une espèce en voie de disparition ou plutôt en voie de généralisation. A tel point que le mot disparaitra au profit d'un autre pour qualifier celui qui est réfractaire au high tech.

 

Peut-être qu'un nouveau terme désignera aussi le geek hardcore (si vous avez des idées, donnez-les en commentaire). Celui qui ne sort pas de chez lui car le High Tech enferme. Le smartphone n'enferme pas le geek entre 4 murs mais il ne le fait pas non plus sortir. Tout ce qui fait l'essence de notre passion, qu'il soit filaire ou bien wireless nous cantonne au canapé.

 

Les produits dits nomades ne le sont que parce qu'ils peuvent être utilisés en extérieur. Mais ils n'ont pas vocation à sortir le geek de chez lui.

 

AR Drone Parrot aMessieurs des sociétés High Tech, postez pour nous pauvres consommateurs, maintenant et à l'heure (sur montre Tokyoflash uniquement svp) de notre quad cœur (PSVita vite...), faites que notre volonté soit faite sur la Terre comme au Ciel (dans le Cloud surtout).

 

Mais c'est bien sûr ; c'est l'AR Drone qui va sortir 4ugeek de son antre freeboxée. Ce messager venu du ciel va buriner votre visage pale (il est même de deux pales pour chacun des 4 rotors). Et promesse est faite de vous emmener sur son Drone de pèlerinage.

 

Parrot a ouvert la voie du geek outside et 4ugeek promet de ne pas la refermer et de rendre compte de la passion selon AR Drone (chapitre 1 et rien à verser mais juste à me suivre).

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31 mai 2011 2 31 /05 /mai /2011 12:28

RPM_acetate_graphite1.jpg


Tokyoflash a pour habitude de marier les designs les plus incroyables à des matériaux nobles. Et elle innove ici en utilisant l'Acétate pour nous offrir une montre qui semble avoir été taillée dans une météorite.

 

C'est la Kisai RPM qui a eu les faveurs de ce matériau, l'Acétate, utilisé notamment dans la joaillerie de luxe. La RPM est une montre à affichage à LED. Deux disques concentriques vous permettent de lire l'heure et les minutes très facilement.

 

Le design épuré de la RPM se mariait bien avec le métal mais avec l'Acétate, elle semble encore plus venir d'une autre planète.

 

L'Acétate est aussi solide que l'acier et apporte une touche quelque peu similaire à la céramique. Il est également léger et peut être aisément nettoyé.

 

L'autre intérêt de ce matériau est de pouvoir être décliné en différentes finitions. A cet effet, il y en a pour tous les goûts : la RPM en Acétate bleu pourrait être portée par un Extra Terrestre ou tout simplement par une personne qui désire porter une montre vraiment singulière. Esthétiquement, l'Acétate bleu vient en écho à l'affichage à LED bleu. Il existe également une finition blanche qui a l'avantage de faire ressortir l'affichage à LED bleu et de donner un look immaculé à la montre.

 

Enfin, il y a également la Kisai RPM Edition Limitée toujours en Acétate. On se rapproche vraiment de l'orfèvrerie car on dépasse ici le cadre de la montre à affichage moderne. L'ensemble donne l'impression d'avoir été taillé dans un diamant ou dans du quartz. Plusieurs couleurs sont ainsi proposées : Tempest avec des tons de bleu, Granite dans les gris clairs, violet, Coral avec des reflets bleus et jaunes, Pearl à l'aspect Quartz, bleue claire, Saturn dans un noir absolu et Graphite noire taillé dans la masse…

 


RPM_acetate_tempest3.jpg

 


RPM_acetate_white1.jpg

 


RPM_acetate_blue2-2.jpg

 



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23 mai 2011 1 23 /05 /mai /2011 10:22

 

tokyoflash help

 

 


TokyoFlash avait lancé une opération visant à récolter des fonds pour les sinistrés des catastrophes naturelles qui ont touché de plein fouet le Japon. Et le résultat a été à la hauteur puisque c'est près de 54 000€ qui ont été récoltés.

 

Pour mémoire, durant plusieurs jours et jusqu'au 24 mars 2011, TokyoFlash reversait l'intégralité des commandes à la croix rouge japonaise. On peut donc parler d'un succès et d'une action humanitaire qu'on peut saluer comme il se doit.

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23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 06:40

tokyoflash_help.gif

 


TokyoFlash vous explique comment être magnanime tout en se faisant plaisir. En effet, jusqu'au 24 mars inclue, tout achat effectué sur le site japonais profitera à la croix rouge japonaise. En effet, le site, connu pour ses montres singulières aux designs exceptionnels, s'engage à verser l'intégralité des montants des achats effectués sur son site (frais de ports inclus) à la croix ruge japonaise.

Un beau geste en somme, auquel vous pouvez vous associer en effectuant l'achat de votre montre dès à présent si vous comptiez vous faire plaisir prochainement par exemple. 

Rappelons que le tremblement de terre qui a frappé le Japon et qui a été suivi d'un tsunami, a été des plus dévasteurs puisque son épicentre était proche des côtes japoonaises et qu'il a atteint 8.9 sur l'échelle de Richter (échelle logarithmique).

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20 février 2011 7 20 /02 /février /2011 17:59

Kisai-RPM-TokyoFlash-watch.JPG


Montre moi ton poignet, je te dirai qui tu es. TokyoFlash sublime une nouvelle fois la montre grâce au designer anglais James Fursedon. De la montre à l'objet culte ou bijou, il n'y a qu'un pas que la RPM Kisai franchit allègrement.

 

Elle revisite entièrement l'affichage de l'heure grâce une idée simple. Celle du spectacle ou comment un geste aussi banal que regarder l'heure redevient un petit plaisir. Et sitôt ce petit plaisir réalisé, elle se voile la face dans un dépouillement qui la rend sublime et mystérieuse. 

 

La nuit lui va également comme un gant puisqu'il devient alors aisé de lire l'heure dans l'obscurité.

 

Fabriquée en aluminium brossé (existe en version couleur alu ou couleur anthracite), sous un aspect classique (bracelet montre, rondeur de la montre…), il faudra presser un bouton pour que l'heure s'affiche grâce à des LED (bleues ou vertes suivant le modèle).

 

Deux cercles concentriques affichent les heures (cercle intérieur) et les minutes par tranche de 5' (cercle extérieur), les petits traits d'union au sommet venant préciser les minutes dans la tranche de 5'.

Bien entendu, les fans de Tron y verront un clin d'oeil à l'univers du film avec les LED bleus. 

Le mariage du classique, du dépouillé et du moderne accouche du nec plus ultra qu'on porte à son poignet tel un gamin qui porterait sa première vraie montre.

 

L'autre avantage de cette montre est qu'elle intègre une batterie rechargeable. Un petit tournevis et un câble usb vous permettent de la recharger. Pour une charge de 3h, votre montre vous affichera l'heure durant un mois. La batterie peut être rechargée 300 fois et elle est remplaçable.

 

Elle est disponible sur le site de TokyoFlash.

 

[TokyoFlash]


 

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