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31 juillet 2011 7 31 /07 /juillet /2011 21:10

Kisai Kaidoku Tokyoflash d 


Classe est le premier mot qui vient à l'esprit lorsqu'on découvre la Kisai Kaidoku. Et rapidement, on se retrouve face une montre à l'affiche unique.



Kisai Kaidoku Tokyoflash bL'élégance caractérise la Kisai Kaidoku. Une montre large avec un bracelet en cuir et des coutures visibles lui donnent un cachet très chic. A l'examen de ce bracelet, on s'attend à voir une montre classique à aiguilles. Et on découvre la Kaidoku qui semble taillée dans le métal d'une météorite.



C'est ce mélange du classique avec le bracelet en cuir et la montre à large écran et faite de métal brossé sombre qui rend réellement cette montre singulière. On notera la gravure du mot KISAI du plus bel effet en bas à gauche de l'écran.

En fait, les proportions de la montre donnent l'impression d'une montre extra large. Mais si on la compare à une Suunto T6 par exemple, on se rend compte qu'elle fait la même largeur (4.7cm). Des proportions qui nous conduisent tout droit à l'affichage de la Kaidoku.

Kisai Kaidoku Tokyoflash cCe sont les mots qui parlent ou plutôt qu'il faut lire. Les quatre premières lire affichent des numéros s'échelonnant de un à douze. Et celui qui flashe indique l'heure. Les deux lignes suivantes donnent les dizaines de minutes (elles vont de zéro à cinq). Puis les trois dernières lignes indiquent les minutes au delà des dizaines : de 0 à 9. Simple comme bonjour : la lecture est bien entendu immédiate. Et on se prend à regarder l'heure comme par jeu. Mais c'est aussi la montre qu'on regarde car l'objet est aussi (voire plus) important que la fonction, Tokyoflash oblige.



Mais passée cette digression philosophique, il est temps de revenir à la Kaidoku. La motre (mélange de montre et de mot) nous parle d'un temps que les moins de vingt ans connaissent très bien. C'est un canadien âgé de 15 ans qui a eu l'idée de concept qui a flashé dans la tête des décideurs de Tokyoflash. La Kaidoku était née.



Philosophie de l'heure ou plutôt à l'heure de la philosophie, les montres Tokyoflash ne cessent de tourner autour de l'heure, du temps… A tel point qu'on finit par s'interroger sur ce concept si commun et pourtant si incompréhensible. 

Kisai Kaidoku Tokyoflash aLe rétro-éclairage n'est pas des plus puissants et aurait gagné à l'être. Cet inconvénient se transforme en avantage lorsqu'on évoque l'autonomie de la Kaidoku. Pas de recharge par USB de la batterie, ici on est en présence d'une pile bouton classique (une CR2016) et l'heure est affichée continuellement. La montre est étanche et supporte une pression de 3 ATM. Elle est bien entendu en acier inoxydable. Ces deux boutons permettent de régler l'heure, la date et l'alarme, et le bouton supérieur permet également de voir l'heure dans l'obscurité. La batterie sera changé au maximum une fois par an, ce qui est plus que raisonnable.


Montre moi ta montre et je te dirai qui tu es : littéraire ou geek ou bien les deux ?

Kisai_Kaidoku_Tokyoflash_e.jpg

Kisai_Kaidoku_Tokyoflash_f.jpg

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